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Noire forêt, peau d’or et de diamant
Dans la nuit profonde, la forêt murmure,
Ombres tissées de soie noire, caressant la peau,
Chaque souffle est un frisson, une vague d'or,
L'air est lourd de mystère, suave et scintillant.
Sous les arbres aux branches sombres, la peau brille,
Un éclat doré, comme un secret enfoui,
Chaque pas résonne, comme une promesse voilée,
Les feuilles chuchotent, lourdes de peur et de désir.
Les yeux perçants du ciel, diamants éclatants,
Veillent sur la danse silencieuse, hypnotique,
Là où la peur devient douce, presque intime,
Et les ténèbres, une parure de velours.
La forêt, sombre écrin d'une nuit dorée,
Embrasse l'or qui coule sur chaque courbe,
Des éclats de lumière transpercent l'ombre,
Comme des bijoux discrets, posés sur un corps nu.
Le silence se fait lourd, presque sacré,
Un luxe ancien se réveille sous la lune,
Peau contre peau, chaleur dans l'obscurité,
Les diamants tombent en pluie, scintillent dans l'air,
Or et noir s'unissent, dans une étreinte de feu.
Chaque souffle, chaque baiser est un joyau,
Chaque ombre une étoffe, tissée d'or et de nuit,
Et la forêt, reine des secrets enfouis,
S’étend, brillante et obscure, dans l’infini.
Douceur céleste
Le ciel se teint de crème vanillée,
Nuages meringués dans l'azur rosé,
Chaque étoile, un grain de sucre doré,
Le crépuscule, un dessert enchanté.
Gracieuse douceur
Dans un éclat de dentelle, la grâce s'épanouit,
Un souffle léger, comme un murmure royal,
Pureté en pastel, douce comme un secret,
L’élégance s’invite dans chaque délicate pensée.
Sous des nuages poudrés, l’humilité se pose,
Comme une perle cachée, discrète et fidèle,
Des macarons rosés, lavande et pistache,
Offrent des saveurs sucrées au palais du temps.
Les mains touchent la soie, un geste empreint de tendresse,
Gracieuse simplicité, dans un éclat de lumière,
Chaque couleur, un sourire, chaque douceur, un rêve,
Un monde délicat, où l’âme s’incline et s'élève.
Le souffle argenté des nuages
Sous l’étreinte du ciel, les nuages d’argent glissent,
Blancs comme le silence, lumineux comme l’éclat,
Leur danse lente effleure la lune phosphorescente,
Ils emportent la paix, dans chaque souffle léger.
Ils s'étirent sans bruit, voiles d'argent pur,
Leur calme diffuse, doux comme un rayon,
Un rêve d’éther et de lueurs célestes,
Là où le ciel argenté touche l'infini.
Sous leur voile, le monde repose en lumière,
Tout devient argent, tout devient clair,
Leur passage laisse une lueur d'éternité,
Un souffle phosphorescent, flottant dans l’infini.
Dans le silence, je m'éveille
Sous les voiles du silence, je trouve mon refuge,
Un souffle, léger comme un murmure, éveille mon âme,
Chaque pensée devient vague, caresse douce et sage,
Là où l’écho du cœur danse avec le vent.
Dans ce temple de calme, la lumière s'étire,
Elle peint des rêves en nuances de paix,
Mon être s’ouvre, en paix avec l’instant,
Et je suis, simplement, infinie dans mon élan.
Image et mot s’unissent en douceur,
Un poème se tisse, fil d’argent et de soie,
Ici, je suis le fleuve, la feuille, le ciel,
Dans chaque silence, je retrouve l’éternel.